Burkina Special – un voyage de 11 jours à travers le Burkina Faso
Jour 1 - Arrivée à Ouagadougou
Arrivée et accueil à l’aéroport international de Ouagadougou par votre guide francophone. Transfert à l‘hôtel.
Jour 2 - Ouagadougou
Après le petit déjeuner, réunion avec votre guide pour recevoir des informations détaillées concernant votre voyage. Ensuite vous partirez pour un tour de ville de Ouagadougou, capitale de Burkina Faso.
La ville de Ouagadougou a été fondée en 11ème siècle par le peuple de Yonyonsé. A l’origine la ville s’appelait Kombemtinga, qui signifie « Terre de guerriers. La ville voit grandir son importance au 15ème siècle quand elle devient capitale de l’Empire Mossi. Mais ce n’est qu’au 17ème siècle qu’elle devient la résidence permanente du Mogho Naaba, le roi des Mossi, qui s’installe ici en 1681. Il renomme la ville Wogdgo, qui signifie « respect » en moore, une appellation qui aurait évolué pour donner Woghodogo, puis Ouagadougou.
La capitale moderne n'a pas beaucoup d'intérêt sur le plan architectural en dehors la cathédrale de l'Immaculée-Conception, mais elle est riche en jardins, parcs et cafés avec terrasse, d’où on peut observer la vie qui défile dans la rue. Les habitants sont fiers de leur ville qu’ils présentent comme capitale d’art et d’artisanat. En effet, à Ouaga, comme la ville est appelée familièrement, durant toute l’année de nombreux festivals ont lieu, parmi eux le Festival Panafricain du cinéma FESPACO, un des festivals les plus importants et les plus célèbres du continent africain. Il y existe aussi beaucoup de marchés d’art.
Nous commençons notre visite de la ville par nous diriger vers la cathédralede l'Immaculée-Conception, un bâtiment imposant de briques rouges, qui a été construit en 1934. Ensuite,Nous terminons notre visite de Ouagadougou par un atelier de fonderie de bronze. Pour mieux nous expliquer leur travail les fondeurs nous montrent chaque phase de fabrication. Ils utilisent la méthode traditionnelle burkinabé de coulage de bronze. Surtout les Mossi sont des excellents bronziers et réputés pour la qualité de leurs produits. Chaque artisan s’occupe de sa propre tâche : d’abord l’objet est modelé en cire et puis recouvert d'un mélange à base d'argile qu’on laisse sécher. Après on le fait cuire, ce qui fait fondre et vider la cire. Puis on y coule le bronze. On attend que les moules de terre cuite refroidissent pendant quelques heures avant de les briser pour voir apparaître l’objet. Après on effectue la finition en polissant, limant et ponçant l‘objet.
Vers le début de l'après-midi nous nous rendons à Laongo, à une trentaine de kilomètres de Ouagadougou. Le Jardin de Sculptures à Laongö vous permettra d'admirer les oeuvres d'artistes internationaux qui ont créé des sculptures merveilleuses sur granit . C'est un véritable musée à ciel ouvert implanté dans une zone constituée de massifs de granit. En face, à quelques mètres du jardin de sculptures, se trouve le village-opéra, un projet unique dans le monde fondé par le metteur-en-scène allemand Christoph Schlingensief.
Dans l'après-midi nous nous dirigeons vers le village de Manéga, situé à 50 kilomètres au nord de Ouagadougou, où se trouve le Musée de la Bendrologie de Manéga. Créé par Maître Titinga Frédéric Pacéré, un avocat et écrivain burkinabé, le musée est consacré aux arts et aux traditions du Burkina Faso. Considéré comme le plus grand musée privé du pays, il abrite une collection de nombreux masques, d’instruments de musique et de vêtements des différents groupes ethniques du pays. Dans le pavillon Younyounsé 60 stèles funéraires ou Yakouga sont exposées témoignant d’une culture millénaire. Le musée présente également des reconstitutions d'habitats traditionnels des Mossi et Bobo ainsi que des sculptures modernes créées par des artistes burkinabé.
Retour à l'hôtel vers le soir.
Jour 3 - Ouagadougou – Bobo Dioulasso
Après le petit déjeuner, nous visitons le Village Artisanal de Ouagadougou, qui réunit plus de 300 artisans burkinabé, répartis dans 25 métiers. Au VAO les meilleurs artisans du pays proposent leurs objets d’une qualité excellente. Les textiles africains, bijoux, maroquinerie, sculptures sur bois et bronze, ainsi que les instruments de musiqueconstituent une bonne part de cet artisanat. Vous pouvez regarder les artisans en plein travail et choisir vos achats tranquillement sans être harcelés constamment par les vendeurs. N’oubliez pas de vous entraîner à l’art de la négociation!
Après la visite nous partons pour Bobo Dioulasso, la deuxième ville du Burkina Faso, via Boromo. Nous longeons des très beaux paysages de savane avec des baobabs noueux et des manguiers ombrageux. En cours de route nous visitons les crocodiles sacrés de Sabou. A Boromo nous traversons la Volta Noir, un des trois affluents de la Volta qui prend sa source au Burkina Faso. Dans l’après-midi nous arrivons à Bobo Dioulasso.
Après l’installation à l’hôtel vous aurez le temps à visiter la ville qui est, après Ouagadougou, la plus grande ville du Burkina Faso avec plus de 500.000 habitants. Elle était fondée déjà au 15ème siècle sous le nom de Sya. Les colons l’ont baptisé Bobo Dioulasso qui signifie « la maison des Bobo et des Dioula », les deux ethnies qui se sont installées ici. Aujourd’hui Bobo comme la ville est appelée familièrement, est le centre économique du pays et la capitale de la musique.
Tout près de notre hôtel se trouve la nouvelle ville avec le Grand Marché au cœur de Bobo, où vous plongerez dans une atmosphère animée. Suite à un incendie, qui a détruit le marché en 1998, il a subi une réhabilitation dont les travaux ont pris fin en 2001. Au marché couvert construit dans le style néo-soudanais et dans les rues qui entourent le marché, on trouve de tout : de la nourriture comme l’igname, manioc, des fruits et légumes aux vêtements en passant par les clous rouillés ou les outils. Une partie du marché est dédiée à l’artisanat. Le marché de Bobo Dioulasso et les nombreux magasins d’artisanat dans la ville offrent une très bonne occasion d’acheter des masques ou des statuettes sur bois de bonne qualité. Pour la poterie il y a un marché près de la vielle ville.
A côté du marché s‘élève l’édifice moderne de la cathédrale de Bobo construite en 1957. En continuant vers l’est on arrive devant la gare ferroviaire. Le chemin de fer passe également à Bobo, reliant Abidjan à Ouaga, une ligne initialement prévue d’être prolongée jusqu'à Niamey au Niger. Les français n’ont jamais pu achever ce projet en raison du déclenchement de la Deuxième Guerre Mondiale et des coûts immenses imprévus. C’est pour cela que la ligne se termine à Ouagadougou. Jusqu’à présent il y a plusieurs trains de passagers et de marchandises par semaine sur Abidjan et Ouagadougou. La gare a été édifiée en 1934 du style colonial.
Le soir nous avons l’occasion d’assister à un spectacle musical ou concert dans un café-restaurant avec terrasse dans la capitale de la musique.
Jour 4 - Bobo Dioulasso – Banfora
Le matin nous commençons notre tour de ville à Bobo Dioulasso par la visite de la Grande Mosquée, un bâtiment impressionnant qui a été construit vers la fin du 19ème siècle par le leader religieux Almamy Sidiki Sanou. Jusqu’à présent elle est la plus grande mosquée du Burkina Faso et peut être visitée par les non-musulmans accompagnés d’un guide L’espace de prière intérieur est une simple salle sans décor qui peut accueillir des centaines de fidèles. A travers un minaret on peut accéder au toit qui permet d’admirer le système de ventilation bien conçu formé par de nombreux trous dans le plafond qui font rentrer l’air et la lumière. A côté de chaque trou se trouve un couvercle en terre cuite pour les couvrir par temps de pluie.
En face de la mosquée se trouve l’entrée de la vielle ville qui est divisée en quatre quartiers, animiste, musulman, le quartier des griots et des forgerons. Lors de notre promenade par les ruelles tortueuses nous apercevons les plus importants fétiches des animistes en forme de phallus, nous voyons la fabrication de la bière de mil, nous pouvons observer les silures sacrés dans la rivière Houet et nous rencontrons les forgerons et artisans du bronze.
Dans la matinée nous continuons notre voyage vers Banfora où nous arrivons une heure et demie après le départ. La ville est située au milieu de nombreux plantations de canne à sucre et offre l’accès facile à beaucoup d’attractions touristiques que nous allons à découvrir aujourd’hui et demain.
Près de la ville se trouvent les Dômes de Fabédougou, des formations rocheuses magnifiques. Nous rejoignons cette région fabuleuse sur une piste qui traverse des champs de canne à sucre et des rizières. Ce phénomène géologique composé de grès date probablement d’il y a 1,8 milliards d’années. Il est issu d’un océan qui se trouvait à cet endroit à l’époque de sa formation. Ce paysage bizarre a été créé par de sédimentations qui se sont transformées en roches de dureté différente, l’érosion par l’eau et l’érosion par le vent. Nous poursuivons notre chemin vers les cascades de Karfiguéla en traversant un labyrinthe de rochers en forme de pain de sucre, de champignon et de pyramide. Après une courte balade nous nous retrouvons face aux chutes impressionnantes formées par le fleuve Comoé, un des plus grands fleuves du pays, tombant en plusieurs cascades successives pour s’écraser dans la vallée en contrebas. En haut, près de la cascade, nous nous reposons et profitons de la vue spectaculaire sur la vallée verdoyante. Ensuite nous descendons au pied de la cascade majestueuse pour nous baigner dans la piscine naturelle formée par les rochers.
Jour 5 - Banfora – Sindou – Banfora
Le matin nous nous dirigeons vers Sindou, une petite ville située à 50 km de Banfora. Ici nous attend un monde féerique de rochers en grès, qui fait partie des sites les plus importants du pays. Dans cette région près de la frontière malienne habitent les Sénoufo, qui utilisent ce site mystique et sacré pour leurs cérémonies d’initiation de jeunes garçons. Le Ténakourou, à 749 mètres le plus haut sommet du Burkina Faso, s’élève également dans la région. Arrivant à Sindou une vue superbe s’ouvre sur les formations rocheuses. Le matin accompagnés d’un guide local nous explorons ce labyrinthe de rochers qui s’élèvent dans le ciel en longues aiguilles. En cours de route nous visitons des villages de Sénoufo.
Dans l’après-midi, nous nous rendons au lac de Tengréla où nous faisons une balade en pirogue typique à la recherche des hippopotames. Pour les Sénoufo les hippopotames sont sacrés, c’est pour cela qu’ils vivent en parfaite harmonie avec ces animaux. Ces herbivores vivent en groupes d’environ 15 animaux, dominés par un mâle polygame. Il y a aussi des nombreux espèces d’oiseaux qui habitent les rives du lac. Des jacanas à poitrine dorée paraissent marcher sur l’eau à la recherche de sa nourriture, des martins-pêcheurs pies plongent en flèche pour attraper un poisson et des guêpiers multicolores sont assis sur les arbres au bord du lac. Les feuilles des nénuphars à fleurs blanches s’étalent sur l’eau comme un tapis vert et brillent dans le soleil couchant.
Le soir nous rentrons dans notre hôtel.
Jour 6 - Banfora – Gaoua
Après le petit déjeuner nous quittons Banfora et continuons notre voyage vers l’est en direction de Gaoua en prenant une bonne piste de latérite. Après deux heures de route nous arrivons aux ruines de Loropeni, près de la ville homonyme, le premier site burkinabé inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l‘UNESCO depuis le 26 juin 2009. Situé dans une forêt fraîche, il est bardé d’épais murs bien préservés allant jusqu’à six mètres de haut. Il s’étend sur 11.130 m². Beaucoup de mystère entoure ce site dont une large part n’a pas encore été fouillée. Vieux d’au moins mille ans selon des découvertes récentes, la fonction de ce site reste encore en partie spéculative pour les historiens et archéologues. Ici nous sommes au cœur du pays Lobi et nous visitons cette ethnie qui a su conserver ses coutumes traditionnelles. Cette tribu animiste dont le territoire s’étend sur le Ghana, la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso représente environ 7 % de la population burkinabé. Au Burkina Faso les Lobi vivent dans la région de Gaoua. Dans un petit village nous les rencontrons pour mieux connaître leurs traditions et coutumes. Ils pratiquent un culte ancestral qui se manifeste par des autels et fétiches couverts de taches de sang témoignant des sacrifices pour les protéger contre les mauvais esprits. Leurs maisons en terre spéciales, nommées maisons soukala, ressemblent à des forteresses miniatures, qui résultent d’une lutte multi-centenaire contre leurs ennemis. Pour se protéger des attaques ils construisaient leurs fermes à grande distance l’une de l’autre. Les maisons étaient uniquement accessibles par le toit. Aujourd’hui elles ont une entrée basse par laquelle nous pénétrons dans leurs cases. Les Lobi vivaient autrefois de la chasse et de la pêche, mais à présent ils cultivent des champs de céréales et s’occupent de l‘élevage.
Après notre visite intéressante chez cette tribu archaïque nous continuons notre voyage vers Gaoua, la capitale du pays Lobi. Ici se trouve le Musée du Poni, un musée ethnologique très bien conçu, créé par la célèbre ethnologue et religieuse Madeleine Père. Le musée, qui présente de magnifiques collections d’objets usuels et rituels ainsi que d’armes de chasse et instruments de musique des différents peuples de la famille Lobi, a été inauguré en 1990. Un guide du musée va nous expliquer les traditions fascinantes de son peuple. De nombreuses photographies en noir et blanc datant des années 20 - 30 permettent de visualiser la vie des Lobi. A l’extérieur, dans la cour, une reconstitution de l’habitat traditionnel nous permet de comprendre leur architecture.
Après la visite du musée nous rentrons à notre hôtel simple à Gaoua.
Jour 7 - Gaoua – Nazinga Ranch
Le matin nous partons pour le Ranch de Nazinga en passant par la ville de Léo. Dans l’après-midi nous arrivons au Ranch de Gibier de Nazinga, qui abrite une grande population d‘éléphants. Surtout au bord du barrage qui se trouve à proximité du campement touristique, le visiteur peut facilement rencontrer les pachydermes pour les regarder se baigner. Mais il faut faire attention : les géants se promènent parfois au campement ! Outre les éléphants, qui sont sans doute les stars du parc, on peut y contempler 38 mammifères parmi eux les buffles, dont on compte 500 animaux environ, les phacochères, les babouins, les cobes defassa et plusieurs autres espèces d’antilopes. Le Ranch de Nazinga est également un paradis pour les amateurs d'oiseaux avec 275 espèces, qu’on y trouve. Ce domaine de 940 km² situé en zone de savane soudano-guinéenne, était créé en 1979 par le Canadien Clark Lungren et son frère qui ont grandi au Burkina Faso. Notre visite s'effectue essentiellement en véhicule tout terrain (game-drive), accompagné d'un pisteur expérimenté. C'est le matin très tôt et en fin d'après-midi que les chances sont les plus importantes pour repérer les animaux et prendre des photos fantastiques. Une atmosphère « out of Africa » absolument parfaite!
Jour 8 - Nazinga Ranch – Tiébele - Ouagadougou
Si vous êtes matinal, vous avez la chance de voir les éléphants ou d’autres animaux venir s’abreuver au barrage près du campement. Après le petit déjeuner nous partons pour Tiébele. Dans cette communauté de 18000 habitants à l’est de la ville de Pô s’offre la meilleure chance de voir la peinture murale des femmes Kasséna. Sur une piste de latérite rouge nous arrivons à la cour royale, la concession du chef de village de Tiébélé où se trouve la plupart des maisons couvertes de symboles géométriques. La forme des bâtiments indique la situation familiale de leurs habitants : Les jeunes hommes célibataires habitent dans les maisons rondes, les couples habitent dans les maisons rectangulaires. Les vieux couples habitent avec les enfants de bas âge dans des cases en forme de huit. Outre le chef de village des centaines de membres de sa famille vivent dans la cour royale. Ce sont les femmes kasséna qui sont responsables de la décoration des maisons. Chaque année au début de la saison sèche elles renouvellent la peinture impressionnante. Elles emploient de la couleur noire, qui est obtenue de la poudre de graphite, ainsi que de la couleur blanche, qui est obtenue d’une sorte de pierre calcaire. En utilisant des plumes de pintades comme pinceaux les couleurs sont appliquées sur un fond rouge constitué de terre argileuse mélangée à de l’eau de cuisson de cosses de néré. La peinture donne un rayonnement fascinant aux cases de ce peuple. Chaque motif représente un symbole la vie quotidienne et la religion kassena dont la calebasse est le symbole le plus important, car elle accompagne la femme kasséna pendant toute sa vie et même après sa mort la calebasse garde ses fonctions religieuses : selon la tradition kasséna quatre jours après la mort d’une femme une calebasse est brisée.
Accompagnés d’un guide locale, membre de la famille royale, nous visitons le village et pénétrons dans l’intérieur des maisons. C’est une expérience très spéciale! Les cases sont pourvues d’un système de sécurité très bien conçu. Non seulement l’entrée est très basse, d’environ 50 cm, mais aussi, avant d’entrer dans la chambre principale, il faut surmonter en s’accroupant un mur de la même hauteur qui se trouve immédiatement derrière l’entrée. Ce qui est pour nous de la gymnastique marrante c’est pour les Kassena une méthode pour se protéger des assauts des ennemies
Dans l’après-midi nous partons pour Ouagadougou, qui se trouve à 200 km environ au nord de Tiébélé. Arrivée vers le soir.
Jour 9 - Ouagadougou – Lac Kompienga
Après le petit déjeuner nous partons pour Pama. Nous traversons la région des Gourmanché, dont les concessions bordent la route. Nous nous arrêtons en cours de route pour visiter cette ethnie et leurs maisons. A Pama une piste part vers le lac de la Kompienga, formé par le barrage sur l’Oualé, un affluent de la Pendjari qui constitue la frontièresud-est du Burkina avec le Bénin. Le barrage, premier ouvrage hydroélectrique construit sur le territoire du Burkina Faso, a été érigé de 1985 à 1988 près du village de Tagou. Il permet à fournir l’électricité à l’ensemble des habitants d’Ouagadougou. Le lac joue également un rôle important dans l’industrie de la pêche dans la région. Un bateau vous emmène des rives du lac jusqu’à la petite île sur laquelle est situé l’hôtel Thialy.
Jour 10 - Lac Kompienga
Aujourd’hui vous pourrez vous reposer au bord du lac ou profiter de la piscine, située sur une colline au milieu de l'île, qui offre une vue magnifique sur le lac. Avec un peu de chance vous verrez des éléphants ou des antilopes qui viennent souvent au bord du lac pour boire ou se baigner. Dans l’après-midi vous ferez une balade en bateau sur le Lac de la Kompienga jusqu’au soir. Vous pourrez voir les animaux sauvages qui viennent au lac et vous aurez une très bonne occasion d’observer les nombreuses espèces d’oiseaux qui vivent le long des berges du lac. C’est une belle excursion pourles amoureux de la nature, des animaux et des oiseaux.
Jour 11 - Lac Kompienga - Ouagadougou - envol vers l'Europe
Après le petit déjeuner vous retournez à Ouagadougou. En cours de route vous visiterez Madame Mariam à Fada N'Gourma qui produit du miel délicieux. La région de Fada est connue pour son apiculture. Dans l'après-midi arrivée à Ouagadougou. Vous aurez le temps pour faire du shopping. Le soir transfert à l'aeroport.
NB: Vero Tours se réserve le droit de rectification de l’itinéraire selon le déroulement du facteur temps et en fonction de la disponibilité des hébergements.
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